Paris : notre open-air préféré de l'été tire sa révérence avec 45 heures de fête

undefined 31 août 2020 undefined 18h50

La Rédac'

C’est déjà la fin de Border City, la fin d’une épopée aux portes de la capitale qui nous accueillait depuis juillet pour faire la fête quand on en avait grand besoin. L’univers post-apocalyptique inspiré de Mad Max ferme ses portes dimanche 6 septembre 2020 à 2h du matin en nous donnant – on l’espère en tout cas – rendez-vous l’année prochaine. Et pour sa dernière ligne droite, la course folle de Border va passer le témoin à une belle brochette d’artistes qui nous feront galoper tout le week-end pour 45 heures de fête – plus que ton quota de travail de la semaine, eh ouais.

 
Trois soirées, une aprèm… combien de décès ?

Le programme est chargé pour les adieux de Border City. Du jeudi au dimanche, ce ne sont pas moins de quatre évènements qui s’enchaînent, aux ambiances et aux couleurs différentes, qui finiront bien par avoir raison des valeureux fêtards. Jeudi, début des hostilités avec une soirée organisée par le label Nadsat, en compagnie de Maud Geffray, Crystallmess, Krampf et le récent duo qui fait beaucoup parler de lui Ascendant Vierge en live (Paul Seul & Mathilde Fernandez). Vendredi, c’est au tour de la maison Vryche House de prendre le contrôle des lieux avec Col. J, Vitess en live, Artrax, Complex Program et Jaspe. Samedi, la techno sera bien au rendez-vous avec l’une de ses actrices majeures Rebekah, tout droit débarquée d’outre-Manche, mais aussi David Asko pour l’anniversaire de ses 25 ans de carrière, Hadone, ZM & Schrapnel, Dersee, Opäk et Ekors.

Le dimanche, c’est un petit peu la surprise. Si le plateau reste à confirmer, on a quand même envie de vous mettre quelque peu l’eau à la bouche : un duo hollandais de la house, passé par la case Rhythm Section et Heist Recordings pourrait bien pointer le bout de son nez… Mais aussi une star de la house française masquée depuis bien avant la crise sanitaire, un DJ allemand en pleine ascension et une résidente de la famille Dure Vie, maître des lieux à cette occasion.

Il est temps de profiter une dernière fois de Border City et on a le choix pour au moins y aller une fois cette semaine. Ceux et celles qui ne seront pas de la partie n’auront plus que leurs yeux pour pleurer, et ne venez pas dire qu’on ne vous avait pas prévenu.e.s.

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