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5 séries à binger pendant les vacances

undefined undefined 21 décembre 2020 undefined 16h18

undefined undefined 23 décembre 2020 undefined 15h50

Louis Haeffner


La plus addictive : The Undoing

Le pitch : Une célèbre thérapeute Grace (Nicole Kidman) dont la vie en apparence idyllique bascule le jour où son mari (Hugh Grant) disparaît.

Pourquoi on regarde : La série rend totalement accro, le suspens est insoutenable, les deux acteurs charismatiques forment un couple irrésistible, on se fait totalement balader. And we like it.


La plus chill : Narvalo

Le pitch : Chacun des épisodes de 13 minutes nous présente un groupe d’amis différent, réunis pour se raconter leurs dernières folies. Et si les jours se suivent et se ressemblent dans leur banlieue, les personnages trouvent toujours des histoires marrantes à se raconter. Des petits morceaux d’existence improbables et inédits, qui les ont fait rire et qu’ils souhaitent partager pour illuminer un peu la journée de leurs proches.

Pourquoi c'est cool : C'est un peu les histoires de vos potes ou plutôt - on l'espère - des potes de vos potes adaptés en série. Quoiqu'il en soit, on s'y retrouve tous un peu. Son format très court permet de mater sans rester scotché toute la journée... mais aussi de binger toute la saison en 112 minutes chrono. En plus c'est Matthieu Longatte (Bonjour Tristesse) aux commandes, donc forcément smart et drôle.


La plus émouvante : Une vie d'écart

Le pitch : Dans cette série-docu, des enfants de maternelle passent 6 semaines dans un EHPAD (rassurez-vous, c'était avant le Covid) et découvre les joies et les misères d'être vieux. Les vieux, eux, retrouvent une seconde jeunesse. Une expérience qui tend à montrer l'importance de conserver les liens entre très vieux et très jeunes.

Pourquoi c'est cool : On se doute pas qu'une amitié si forte peut exister entre ceux qui découvrent la vie et ceux à qui il ne reste que des souvenirs. C'est ultra touchant. Préparez les mouchoirs.


La plus évidente : Le Jeu de la dame

Le pitch : Fin des 50's, une gamine du Kentucky découvre les échecs à 8 ans, dans son orphelinat, et se révèle très vite extrêmement douée pour le jeu. On suit son évolution personnelle et "professionnelle" dans cet univers presque exclusivement masculin jusqu'au championnat du monde en Russie, 13 ans plus tard.

Pourquoi c'est cool : Si vous n'avez pas encore regardé la série la plus regardée dans l'histoire de Netflix, il n'est jamais trop tard. Esthétiquement et techniquement irréprochable, voire carrément réjouissante, cette mini-série vous tiendra en haleine tout en vous initiant gentiment aux échecs. Big up pour les décors et les costumes, un régal !


La plus féministe : Godless

Le pitch : Suite à un accident minier, tous les hommes ou presque d'un village du Far West, La Belle, disparaissent, laissant les femmes livrées à elles-mêmes. Dans ce contexte débarque un jeune hors-la-loi, poursuivi par le terrible Franck Griffin et sa bande à qui il appartenait avant de leur avoir volé le butin d'une attaque de train. 

Pourquoi c'est cool : Comme pour Le Jeu de la dame, le format mini-série (7 épisodes d'une heure à peu près) permet ici de développer un maximum les personnages tout en conservant les unités de temps et d'espace propres au dévelppement d'une bonne narration. Le résultat est intelligent, prenant, poétique... une réussite totale.