Londres, son premier club, sa teuf la plus originale : la nuit de Shygirl

© Samuel Ibram

Shygirl ne serait-elle pas en passe de devenir la nouvelle figure phare de la pop mondiale ? Après le succès d'estime et auprès du public de son album Nymph, sorti le 30 septembre dernier, forcés d'admettre que nous nous sommes bien tentés d'y penser un minimum. Et comme pour nous pousser à croire un peu plus en le tout nouveau statut d'icône de Shygirl, les remixes de certains singles de son projet cartonnent et sont à la hauteur des bangers qui ont ponctué son premier album. Puis il y a aussi son passage à Paris où elle a donné un concert au Trianon complet. Of course Alors forcément on se devait de lui poser quelques questions. "Alors, quelle est la nuit de Shygirl ?"

Te rappeles-tu de ton premier contact avec la nuit ? Tu peux nous raconter ?

Mes premières fois étaient les nuits d'été passées à écouter de la musique sur une enceinte Bluetooth puis sur nos téléphones quand la batterie était à plat. J'étais dehors sur Blackheath (ndlr : quartier de Greenwich au sud-est de Londres) en buvant de la vodka pure et en trainant avec mes amis. J'avais 17 ans, à l'époque.


Tu as été ivre pour la première fois à ce moment-là ?

Exactement.


Ta première soirée en club, c'était où ?

Au Punk, à Soho.


Quel club te faisait fantasmer quand tu étais jeune ? Et est-ce que tu as finis par t'y rendre ?

Fabric. J'y suis allé une fois pour un concert de SOPHIE.


Tu sors encore aujourd'hui ? 

Je ne fais plus beaucoup la fête en club sauf si je vais au Shy. 


À quoi ressemblerait ta nuit parfaite ?

Une soirée chill dans mon appartement avec des amis. J'aime faire la fête à la maison jusqu'à tard.


Qui penses-tu être la nuit ?

J'aime rester tard. Je préfère les lumières à la nuit. Je pense j'ai toujours plus une personne de la nuit.


L'endroit le plus improbable où tu as fait la fête ?

Stonehenge.


Que penses-tu des fêtes parisiennes ? 

Je ne connais pas encore assez pour juger, je dois plus explorer Paris. 

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