1240

Les boîtes de nuit bruxelloises ont enfin rouvert leurs portes

undefined undefined 4 octobre 2021 undefined 16h48

undefined undefined 4 octobre 2021 undefined 19h15

Léo Rahatoka

Si les Bruxellois·es n’ont pas attendu la réouverture des boîtes pour faire la fête, c’est une grosse sphère de la vie nocturne qui manquait à l'appel tous les soirs de l'été. Ce vendredi 1er octobre 2021, les boîtes de nuits ont enfin pu rouvrir leurs portes, avec de nombreuses restrictions mises en place par le gouvernement. Le Covid Safe Ticket (ou CST, équivalent belge de notre pass sanitaire) doit systématiquement être contrôlé avec une pièce d'identité et les boîtes de nuit ont subi un contrôle des ventilations les poussant à s'équiper en conséquence.

Ces conditions n’ont bien sûr pas freiné les nombreux·ses fêtard·e·s de la capitale belge qui ont répondu plus que présent, créant d’énormes files d’attentes devant l’incroyable C12 ou le mythique Fuse. Pour l'occasion, ce dernier avait réuni un line-up exclusivement composé de leur DJ's résidents. Hadone, Emily Jeanne ou encore Innershades ont enflammé cette soirée de retrouvailles.

Tous les établissements n’ont cependant pas profité de l’occasion pour réaccueillir leur public. Le Zodiak, par exemple, attend le 31 décembre pour pouvoir ouvrir dans les meilleures conditions possibles et assurer à ses habitués une ambiance de liberté telle qu’ils la connaissaient avant la fermeture.

L’effervescence de ce week-end ne risque pas de perdre de l’élan dans les prochaines semaines. Le week-end prochain, Nuits sonores & European Lab s’installent à Bruxelles avec des afters partys au C12, le Fuse accueille le label belge Token Records avec Planetary Assault System et Kr!z, Le Palais 12 accueille Rave Rebel XXL Weekender... un énorme week-end de techno avec des noms comme Adam Beyer, Amelie Lens, Sven Väth, Nina Kraviz, Reinier Zooneveld ou encore Enrico Sangiuliano.

On ne peut que vous conseiller de vous rendre dans la capitale belge ces prochaines semaines. Que ce soit en bus, en stop, à pied ou en Thalys... le déplacement en vaudra forcément la peine.