En raison de restrictions « non justifiables » que subissent de plein fouet les clubs, bon nombre des responsables sont maintenant complètement sur les barricades et engagent des poursuites judiciaires contre le gouvernement ; ils reçoivent actuellement le soutien de la Night Time Industries Association (NTIA).
L'association a déclaré qu'elle souhaitait essayer d'alléger les restrictions de capacité et les heures d'ouverture. Un responsable a d’ailleurs déclaré : « L'industrie hôtelière en général et le secteur nocturne en particulier a été poussé au bord de la faillite par les restrictions strictes en place depuis le début de la pandémie. » Le soutien du gouvernement était « totalement insuffisant » pour compenser les pertes financières qui en résultaient. En conséquence, la plupart des bars et clubs sont devenus très endettés. « Le pire, c'est que les subventions du Fonds du cadre stratégique pour les entreprises ont maintenant expiré, alors qu'il n'y a pas de date de fin pour les restrictions qui affectent la rentabilité économique », a-t-il ajouté.
Le monde de la nuit considérablement menacé
Selon une enquête, la dette moyenne des personnes touchées est d'environ 150 000 livres et 39 000 emplois sont directement menacés. Bien que la NTIA reste consciente que les restrictions liées au Covid-19 sont nécessaires pour mener à bien le programme de vaccination le plus efficacement possible, elle est d'avis que le coronavirus n'est actuellement plus une menace aussi grave pour la santé publique qu'elle l'était il y a quelques mois. Ainsi, avec des précautions appliquées aux clubs, la NTIA considère que les établissements de fêtes peuvent rouvrir.
Le gouvernement écossais a déjà répondu aux allégations en déclarant : « Nous voulons tous revenir à la normale le plus rapidement possible, mais nous devons être très prudents pour nous assurer que le virus continue d'être combattu. »
Affaire à suivre...